Historique du MRC

  

janvier
1966

création du Centre d'Études, de Recherches et d'Éducation Socialistes (CÉRÈS), courant de le SFIO puis du Parti Socialiste (PS)

 

14 avril
1986

Le CÉRÈS devient Socialisme et République  

30 août
1992

Création du Mouvement des Citoyens (MDC)  

1er-2mai
1993

le Mouvement des Citoyens (MDC) devient un parti politique autonome

11-12 mai
2002

le MDC s'élargit et devient le Pôle Républicain

25-26 janvier
2003

Reconstitution du MDC élargi sous le nom de Mouvement Républicain et Citoyen (MRC)

 

 À la suite de l'élection présidentielle de 2002, où Jean-Pierre Chevènement, candidat du Pôle républicain, avait obtenu 5,33% des voix, le Mouvement des Citoyens (M.D.C)se transforma en Pôle républicain.

Les 25 et 26 janvier 2003 se tient le congrès fondateur du Mouvement Républicain et Citoyen. Il regroupe majoritairement des anciens membres du MDC, dont son président d'honneur, Jean-Pierre Chevènement, son premier secrétaire, Jean-Luc Laurent et son porte-parole, Georges Sarre.

Le Pôle Républicain subsiste alors en tant que confédération composée à parité de membres du MRC et de représentants des autres composantes (gaullistes de l'UGFR, radicaux de l'URR...).

En juin 2003, quatre secrétaires nationaux du MRC, dont Éric Coquerel et l'ancien juge Éric Halphen, décident de démissionner et fondent le MARS dissident, qui se rapprochera du PCF et de l'AGR. En juin 2004, des militants ayant appelé à voter PCF aux européennes sont exclus.

Lors du congrès de Paris XXe, au gymnase de la Bidassoa en novembre 2004, le MRC réaffirme sa volonté d'agir en faveur d'une refondation républicaine de la Gauche ; il élit comme Premier secrétaire l'ancien ministre Georges Sarre à 69% des voix, et se donne les moyens d'une action militante dans la campagne pour le non au traité constitutionnel européen, victorieux le 29 mai 2005.

Lors du congrès de Paris XIe, gymnase Japy, en avril 2006, le MRC se prononce en faveur d'un candidat de rassemblement de la gauche qui puisse donner une suite au non du 29 mai 2005 (voir Élection présidentielle française de 2007). Si un tel rassemblement n'aboutissait pas, Jean-Pierre Chevènement se présenterait, soutenu par le MRC.

Suite à la signature d'un accord politique intervenu entre le PS et le MRC , les instances du MRC ont décidé à 84 % le 10 décembre 2006 de ne pas présenter la candidature de Jean-Pierre Chevènement et de soutenir Ségolène Royal dès le premier tour. L’accord électoral qui fait suite à l'accord politique prévoit que 10 circonscriptions seront réservées à des candidats MRC, qui seront également soutenus par le PS et que six places de suppléants de candidats socialistes seront réservées au MRC. Dans une soixantaine de circonscriptions restant à déterminer, le MRC présentera ses propres candidats à côté des candidats présentés ou soutenus par le PS.

 
 



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